Parmi les gens connus, Maurice Le Ruyet, un habitué de nos Runs et Maratours, et membre de l'ASR Trail 78 qui organise dimanche 4 avril, une semaine après notre Maratrail, le nouveau trail de la vallée de Chevreuse. On croise aussi deux copains de Didier, des coureurs habitant Imbermais.
La course a failli vite se terminer pour Philippe qui avait oublié ... sa lampe frontale. Heureusement, en région parisienne les Décathlon sont nombreux. Comme ce n'est pas la première fois que cela lui arrive, Philippe possède maintenant au moins 4 jolies lampes frontales. Avis aux amateurs. Il peut en céder une ou deux à un bon prix.
Nos deux Maratouristes (Philippe et Didier) avant le départ de cette Corrida des Sangliers
Avant la course, un goûter sympa (6 € la part de tarte quand même !!!) à Auvers-sur-Oise en face de l'auberge où Vincent Van Gogh est décédé (la bouffe était-elle si mauvaise que ça ?)
Puis départ pour quatre heures de course par un mini-trail de 800 m et 60 m+ pour rejoindre l'entrée de la forêt où l'on nous remet les cartes. Didier arrive un peu avant moi à cet endroit puis il part directement alors que la grosse majorité des coureurs se met à genou pour tracer. Je mets un peu de temps à trouver l'endroit du départ sur la carte, manque d'habitude. Je pars finalement juste devant un gros groupe. Au premier carrefour, on voit les options de chacun et les lampes frontales éclairent tous les chemins. Je ne sais pas où est Didier. Il aura choisi la même option que moi car je le retrouve à ma troisième balise. Il y arrive alors que j'en pars. Je ne m'arrête pas et je ne le reverrai qu'au bout de 3h30 de course. Sur une balise placée en-haut d'escaliers en pleine forêt, je monte en maugréant "je ne pensais pas faire des marches ce soir" et surprise, Didier est en-haut. On repartira ensemble de cette balise et on finira ensemble. Par le chemin le plus court car il faut rentrer avant la barière des 4 heures et sans s'attarder sur aucune balise, sauf celle des rochers que l'on ne trouvera pas.
Avant cela, j'ai trouvé une bonne vingtaine de balises, 26 exactement. "Je suis content, c'est plus de la moitié (44 en tout annoncées)." Cela me satisfera encore plus quand Didier m'aura dit qu'il n'en a trouvé "que" 23 !
Sur le parcours, des balises faciles cachées en bordure de chemins ou à des carrefours mais des très hards pour moi, dans des "rentrants" en pleine forêt, certaines au milieu de ruisseaux glacés, une autre, sous une route, dans un tunnel avec 30 cm d'eau. Belle forêt pour ce que j'en ai vu de nuit. Avec par moments de belles vues sur Paris et une jolie Tour Eiffel illuminée.
Quelques passages avec trop de ronces à mon goût mais qui justifient le nom de la course, des pentes raides et glissantes, des traversées de vases (bonjour les XTWings neuves !) et (ouf!) quelques chemins roulants.
Passage dans l'eau dans un tunnel sous une route. Pas chaude l'eau ! Brrrr !
Pour ma première expérience en solo, je trouve que la nuit, c'est autre chose. Plus difficile à se repérer mais ça on le savait après le balisage de nos courses souvent fait de nuit. On a aussi plus tendance à se laisser influencer par les lampes frontales que l'on voit partout autour de soi. Reste à toujours savoir où l'on est exactement pour repérer les lampes qui seraient au bon endroit. J'ai trouvé ça plus dur techniquement mais plus facile physiquement que la O'Castor fait avec Denis. Mais de nuit, on va forcément moins vite.
C'est sûr la c.o., ça me plaît. C'est vraiment autre chose que le trail et la course classique. Les jambes et la forme comptent mais pas uniquement. Dommage qu'il n'y ait pas plus de Maratouristes intéressés.
INFO DERNIERE: Personne n'a trouvé les 45 balises. Le vainqueur en trouve 39. Plusieurs coureurs en ont trouvé 39 !
La course a failli vite se terminer pour Philippe qui avait oublié ... sa lampe frontale. Heureusement, en région parisienne les Décathlon sont nombreux. Comme ce n'est pas la première fois que cela lui arrive, Philippe possède maintenant au moins 4 jolies lampes frontales. Avis aux amateurs. Il peut en céder une ou deux à un bon prix.
Nos deux Maratouristes (Philippe et Didier) avant le départ de cette Corrida des SangliersAvant la course, un goûter sympa (6 € la part de tarte quand même !!!) à Auvers-sur-Oise en face de l'auberge où Vincent Van Gogh est décédé (la bouffe était-elle si mauvaise que ça ?)
Puis départ pour quatre heures de course par un mini-trail de 800 m et 60 m+ pour rejoindre l'entrée de la forêt où l'on nous remet les cartes. Didier arrive un peu avant moi à cet endroit puis il part directement alors que la grosse majorité des coureurs se met à genou pour tracer. Je mets un peu de temps à trouver l'endroit du départ sur la carte, manque d'habitude. Je pars finalement juste devant un gros groupe. Au premier carrefour, on voit les options de chacun et les lampes frontales éclairent tous les chemins. Je ne sais pas où est Didier. Il aura choisi la même option que moi car je le retrouve à ma troisième balise. Il y arrive alors que j'en pars. Je ne m'arrête pas et je ne le reverrai qu'au bout de 3h30 de course. Sur une balise placée en-haut d'escaliers en pleine forêt, je monte en maugréant "je ne pensais pas faire des marches ce soir" et surprise, Didier est en-haut. On repartira ensemble de cette balise et on finira ensemble. Par le chemin le plus court car il faut rentrer avant la barière des 4 heures et sans s'attarder sur aucune balise, sauf celle des rochers que l'on ne trouvera pas.
Avant cela, j'ai trouvé une bonne vingtaine de balises, 26 exactement. "Je suis content, c'est plus de la moitié (44 en tout annoncées)." Cela me satisfera encore plus quand Didier m'aura dit qu'il n'en a trouvé "que" 23 !
Sur le parcours, des balises faciles cachées en bordure de chemins ou à des carrefours mais des très hards pour moi, dans des "rentrants" en pleine forêt, certaines au milieu de ruisseaux glacés, une autre, sous une route, dans un tunnel avec 30 cm d'eau. Belle forêt pour ce que j'en ai vu de nuit. Avec par moments de belles vues sur Paris et une jolie Tour Eiffel illuminée.
Quelques passages avec trop de ronces à mon goût mais qui justifient le nom de la course, des pentes raides et glissantes, des traversées de vases (bonjour les XTWings neuves !) et (ouf!) quelques chemins roulants.
Passage dans l'eau dans un tunnel sous une route. Pas chaude l'eau ! Brrrr !Pour ma première expérience en solo, je trouve que la nuit, c'est autre chose. Plus difficile à se repérer mais ça on le savait après le balisage de nos courses souvent fait de nuit. On a aussi plus tendance à se laisser influencer par les lampes frontales que l'on voit partout autour de soi. Reste à toujours savoir où l'on est exactement pour repérer les lampes qui seraient au bon endroit. J'ai trouvé ça plus dur techniquement mais plus facile physiquement que la O'Castor fait avec Denis. Mais de nuit, on va forcément moins vite.
C'est sûr la c.o., ça me plaît. C'est vraiment autre chose que le trail et la course classique. Les jambes et la forme comptent mais pas uniquement. Dommage qu'il n'y ait pas plus de Maratouristes intéressés.
INFO DERNIERE: Personne n'a trouvé les 45 balises. Le vainqueur en trouve 39. Plusieurs coureurs en ont trouvé 39 !
1 commentaire:
Didier,on t'a déjà dit que si tu sors la nuit avec frontale et boussole,c'est aussi avec Florence!!on va finir par te perdre ...
Je vais finir par avoir envie de remettre mes godasses....
jprou
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