Deux chronométreuses et une jeune préposée à la remise des médailles. Sous le chaud soleil, c'est agréable
Partir trois quarts d'heure avant la première course, remettre la rubalise enlevée, barrer les chemins interdits. C'était le travail de JP !
La traversée de la route du Gué des grues est le passage le plus dangereux de la course. C'est pourquoi ue solide équipe de bénévoles était placée à cet endroit.
Surprise, le VTT-balai du 12 km attend des coureurs inscrits en retard et partis quelques minutes après le peloton...
Faire des gâteaux, des cakes salés, c'est bien. Mais il faut également les découper avant de les apporter aux coureurs.
Entre deux passages de coureurs, rien de tel qu'un bon fauteuil. Fatigante la fonction de bénévole !
Les derniers coureurs sont revenus à Montreuil suivis des VTT-balais. De nombreux Maratouristes, coureurs et spectateurs les accueillent chaleureusement.
Un Maratrail, ce sont aussi deux départs, ici celui du 12 km donné par Denis Chéron maire de Montreuil sous les yeux des chronométreuses.
Avant le passage au buffet, la chaleur nécessitait une pause au ravito de l'arrivée régulièrement complété par Isabelle.
Au fur et à mesure des arrivées, chacun pouvait se restaurer. Cela a demandé un gros travail de réapprovisionnement effectué par Sophie, ici avec Marie-Françoise.
Après les inscriptions, le chronométrage était l'affaire de Christine et Martine. Quant à Patrick, après commissaire-photographe sur le parcours, il est devenu photographe à l'arrivée.
Jacques (à gauche) et Jack. Le père et le fils ont assuré la montée en forêt et ... la descente du retour.
Il fallait des gens compétents pour noter tous les numéros de dossard et les temps de passage. Luigi et Danièle se sont parfaitement complétés. Les personnes présentes au Poteau de la Robertière ont même eu droit à u cours de taï-chi gratuit !
Le ravito du km 8 des deux courses (et du km 19 de la grande), était un point névralgique de la course. Il ne fallait pas avoir les deux pieds dans le même sabot. Ce fut le cas de Françoise et Daniel.
Un VTT-balai pour soutenir les derniers coureurs puis débaliser le parcours c'est indispensable. Pascal S. l'a très bien fait sur le grand parcours.
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