комендантски час или затвор, нищо страшно, ако можете да бягате ...

 */ Aujourd’hui, une énigme proposée par JP.

Ce petit CR pourra faire l'objet d'une énigme blog puisque j'y ai logé 36 films ou courts métrage d'Alfred Hitchcock. (10 pts par film ou court métrage trouvé).

 A défaut de faire les énigmes "temps pourri" du blog, j'ai préféré mettre les pieds dehors et faire le Défi N°8 du Raid28. Avec un intitulé aussi joliment trouvé, c'est à dire "fenetre sur Cure", impossible de résister à ce défi Hitchcockien. Une vraie belle CO dont je me sentais déjà pris au piège, sachant qu'elle allait me donner des sueurs froides et ce, sans l'ombre d'un doute ! Aussi, sans vouloir vous faire de chantage, je vous fournis le grand alibi dont vous aurez besoin pour y participer.

Ma carte de progression, quoique incomplète puisque ma montre était à bout de souffle, jointe à ce récit restera je l'espère sous la loi du silence; eut égard au plaisir que j'ai de vous aider mais pas trop quand meme. Mais que voulez-vous, le passé ne meurt pas...Il est 9 heures lorsque le plongeon approche et que je me gare au numéro 13 ou au numéro 17, je ne sais plus, pres du cimetière des Rougemonts. Bien équipé car le temps est pourri (une météo à résoudre des énigmes sur PC), je me sens monter sur le ring en attaquant ce défi. Je pars à droite dans la pente et grimpe les 39 marches (à peu près) le long du cimetière. Me voilà donc en haut dans le jardin du plaisir que je vais avoir à ramasser ces balises. Ma cuisse me rappelle qu'il ne faut pas que je tire trop sur la corde et ne pas courir comme quelqu'un qui aurait la mort aux trousses. Car meme si je me sens jeune et innocent, je dois me préserver. La première partie sur le plateau est parfaite, dégagée mais avec de rares orienteurs. Et surtout orienteuse que ma forme physique ne me permettra pas de suivre d'autant plus qu'on ne suit pas les memes balises. Ainsi la femme disparait et je ne retiendrai d'elle que les cheveux d'or que son bonnet ne couvrait pas totalement. Si les premières balises ne sont pas trop difficiles, pour les suivantes il faudra bien les enchainer car étant attendu chez Perrine qui demeure à proximité, je me dois d'etre à l'heure et ne pas jouer le faux coupable dans un complot de famille. La suite de ma progression devient plus grasse, humide et vallonnée. L'étau se resserre. Je peine à progresser et des envies de meurtre me viennent quant au traceur de cette CO. Je fais beaucoup de bruit en traversant les buissons et forcement les oiseaux s'envolent. C'est de plus en plus vallonné et super meme si à ce carrefour, 3 possibilités s'offrent à moi. Laquelle des trois choisir? Les soupçons me gagnent. Il est tard et je commence à avoir faim, imaginant déjà manger un homard (si!) à l'américaine. Et surement pas à la taverne de la Jamaique. Je tourne et retourne le terrain, le chrono tourne aussi et je me dit que j'aurai bien aimé faire parti de la 5ème colonne, tel l'agent secret qui saurait exactement ou se trouvent les balises mais pour l'heure je suis bien loin d'etre l'homme qui en savait trop. Et puis enfin la dernière balise est là, juste avant d'etre atteint de psychose. Très heureux de cette superbe sortie, je remonte dans ma voiture me réchauffer et filer illico me mettre à table en espérant que la police ne me mettra pas la main au collet, vitesse oblige.

Si toutefois vous tentez l'aventure sur ce défi, je vous garantis que ce ne sera pas un poison mais un bon voyage !!

JP

*/ Souvenirs, souvenirs.

*/ On en bave...

*/ Bon choix mesdames, bon choix messieurs.

*/ Les pauvres...

*/ Aides-les.