Le raid d'orientation O'bivwak, ex IGN FRANCITAL, proposait pour sa 28ème édition (nous avons rencontré des anciens qui affichaient 24 participations) une ballade dans les montagnes ardéchoises autour de St Cirgues-en-montagne. Changeant de site chaque année, ce sont à chaque fois 8 courses panachant longueur et difficulté qui sont proposées aux 1000 équipes regroupant élite de l'orientation et simples randonneurs. L'épreuve se déroule sur 2 jours avec bivouac dans un endroit tenu secret. Il faut emporter tente, duvet, gamelles et nourriture pour les 2 jours, seule l'eau étant fournie au bivouac.
Le plus spectaculaire est le départ simultané des 2000 concurrents dans un village qui ne doit pas compter autant d'habitants. Au bout de 600m de course balisée, les feuilles de route sont distribuées pour chaque circuit avec les postes à reporter sur la carte. Les postes doivent être pointé dans l'ordre au moyen d'un doigt électronique et le moindre poste manqué ou inversé est éliminatoire, ça ne rigole pas...
J'avais choisi pour nous le circuit C ''SPORTIF COURT'' avec un adjectif propice à décider Florence et l'autre pour moi annonciateur d'une orientation plus ludique. 32 km en 2 étapes avec seulement 1000m de dénivelé, de la rigolade pour les rescapés de l'enfer du GR73. J'ai seulement omis de préciser à Florence la mention ''à vol d'oiseau''. Avec plus de 5h pour 16km, nous avons pu mesurer l'écart qui nous sépare de la gent ailée. Ce n'était pas trop mal calculé car nous avons eu le temps de monter la tente avant le déluge. Eh oui une fois de plus des maratouristes ont trouvé pour courir le seul endroit de France ou il pleuvait ce week-end de pentecôte. Nouilles chinoises, petits saucissons et fruits secs, le dîner fût expédié entre deux averses. Orage sans désespoir, la nuit se passa paisible et humide jusqu'au réveil en musique à 5h. La pluie, aimable, cessa le temps de plier la tente et nous repartimes pour la 2ème étape sur un terrain un peu plus gras que la veille.
Sous-bois et halebardes, j'ai du sortir ma lampe frontale jusqu'à une heure avancée de la matinée pour lire ce qui restait de la carte mais finalement, nous avons réussi à déjouer tous les pièges et finissons 75e sur 218 de notre circuit en 11h30.
Le plus spectaculaire est le départ simultané des 2000 concurrents dans un village qui ne doit pas compter autant d'habitants. Au bout de 600m de course balisée, les feuilles de route sont distribuées pour chaque circuit avec les postes à reporter sur la carte. Les postes doivent être pointé dans l'ordre au moyen d'un doigt électronique et le moindre poste manqué ou inversé est éliminatoire, ça ne rigole pas...
J'avais choisi pour nous le circuit C ''SPORTIF COURT'' avec un adjectif propice à décider Florence et l'autre pour moi annonciateur d'une orientation plus ludique. 32 km en 2 étapes avec seulement 1000m de dénivelé, de la rigolade pour les rescapés de l'enfer du GR73. J'ai seulement omis de préciser à Florence la mention ''à vol d'oiseau''. Avec plus de 5h pour 16km, nous avons pu mesurer l'écart qui nous sépare de la gent ailée. Ce n'était pas trop mal calculé car nous avons eu le temps de monter la tente avant le déluge. Eh oui une fois de plus des maratouristes ont trouvé pour courir le seul endroit de France ou il pleuvait ce week-end de pentecôte. Nouilles chinoises, petits saucissons et fruits secs, le dîner fût expédié entre deux averses. Orage sans désespoir, la nuit se passa paisible et humide jusqu'au réveil en musique à 5h. La pluie, aimable, cessa le temps de plier la tente et nous repartimes pour la 2ème étape sur un terrain un peu plus gras que la veille.
Sous-bois et halebardes, j'ai du sortir ma lampe frontale jusqu'à une heure avancée de la matinée pour lire ce qui restait de la carte mais finalement, nous avons réussi à déjouer tous les pièges et finissons 75e sur 218 de notre circuit en 11h30.
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