Edith va passer sous les trois heures, faisant mieux que l'an dernier sur un parcours pourtant plus difficile !
Isabelle arrive. Claude Roussin, notre ami speaker l'accueille. Claude animait dans les années 90 les bike and run organisés par Jean Boudard à Marcilly...
Notre pote Fred, organisateur avec son équipe des triathlètes ébroiciens, faisait des photos des coureurs arrivant !
Franchir des grosses bottes de paille, puis des champs de gros pneux. Ils sont joueurs des triathlètes de l'EAC !
Pas classique ce franchissement de la botte de paille ! En fait, je me suis complètement vautré ! J'avais laissé mon appareil à Fred puis qu'il fasse une photo aérienne. Mais si j'ai raté la botte, lui n'a pas raté la photo.
Longs ces derniers hectomètres sur la Ligne Verte
Joli faux-plat montant dans un verger en coteau
Descente un peu technique, glissante et en dévers sur l'herbe. On plonge dans les jardins !
Descente sympa entre bois et prairie
Evreux se rapproche
Les dernières marches, les mains sur les hanches...
Des marches qui glissent, ça ne se descend pas vite !
Oups ! Là, j'ai failli tomber en glissant au moment où je prenais la photo !
Belle vue sur Evreux depuis le coteau
Long passage en dévers où l'on ne peut pas courir très vite dans la prairie
Des marches, des marches, des marches...
Il est où le stade de l'arrivée ? Loin là-bas...
ça monte, ça monte
Celle=là, il faut la grimper...
Technique ce passage, faut faire gaffe !
Passage dans la plaine, un des rares secteurs roulants, avec la ligne verte
Ces escaliers que l'on monte deux fois !
Ces photos vous sont présentées dans l'ordre chronologique ... inversé !
"Une semaine après le Maratrail, et surtout après une belle bronchite, je ne savais pas comment j'allais être sur ces 24 bornes. Une semaine plus tôt, j'avais été incapable de faire plus de 40 minutes avec Didier et Henri en bike and run.
D'entrée, j'essaie quand même de suivre Luis, le copain de Nicolas, pour me jauger. Je suis, à distance, pendant vingt minutes puis de retour dans la plaine, je ne peux suivre. Je continue plus cool. Mais ça va bien. Pendant 1h45', j'avance bien, restant avec un groupe de coureurs au même rythme. On double plein de coureurs du 14 bornes que l'on retrouve sur notre parcours.
Mais arrivé aux deux heure de courses, ça se complique. La fatigue me rattrappe. Je souffre pour finir. Mais je suis rassuré pour les Hospitaliers, ça va aller. A Evreux, pas convalescent, je gagnais du temps. Et encore plus sans faire toutes ces photos. Mais ça, je ne peux m'en empêcher, le blog me tient !"
Philippe
D'entrée, j'essaie quand même de suivre Luis, le copain de Nicolas, pour me jauger. Je suis, à distance, pendant vingt minutes puis de retour dans la plaine, je ne peux suivre. Je continue plus cool. Mais ça va bien. Pendant 1h45', j'avance bien, restant avec un groupe de coureurs au même rythme. On double plein de coureurs du 14 bornes que l'on retrouve sur notre parcours.
Mais arrivé aux deux heure de courses, ça se complique. La fatigue me rattrappe. Je souffre pour finir. Mais je suis rassuré pour les Hospitaliers, ça va aller. A Evreux, pas convalescent, je gagnais du temps. Et encore plus sans faire toutes ces photos. Mais ça, je ne peux m'en empêcher, le blog me tient !"
Philippe
1 commentaire:
mon écran doit être flou car je ne vois pas le sourire de Didier sur la photo!!!
Encore un superbe reportage photo de Philippe.
steph
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