Sur la route du retour des Alpes après sa folle et chaude course d'hier, Didier a bien voulu, entre deux sommes, répondre aux questions de nos envoyés spéciaux.
"Ce fut dur. Il a fallu faire attention aux barrières. À Tré la Tête, le contrôleur m'a dit qu'il fallait 2 heures pour rejoindre les Contamines. Et la barrière était dans 1h45. J'ai fait une descente rapide en une demi-heure jusqu'à Notre Dame de la Gorge. Après en marchant bien, j'ai rejoint Les Contamines dans les temps."
Pour son talon, pas de souci. "C'est une course où tu ne cours presque pas, donc ça ménage mon talon. De plus, j'avais des chaussures neuves qui m'ont donné des tas d'ampoules. En pensant aux ampoules, je ne pensais pas au talon."
La chaleur, la fatigue. "C'est vrai qu'il a fait très chaud. J'ai eu des moments de moins bien mais ça revenait."
Le parcours. "C'est sympa, j'ai découvert des coins que je ne connaissais pas, comme le col Tricot. Pas facile celui-là, on croit être en-haut et non c'est plus loin."
Au sujet de la prochaine réunion de la commission d'éthique technique des Maratouristes, au sujet de Nicolas qui demande si son denivelé sera comptabilisé, Didier constate: " c'est vrai qu'il est bien classé chez les bifurcateurs. Il a même eu droit à son cadeau de bifurcateur. Mais s'il bifurque comme ça à toutes ses courses, il ne sera pas un danger au classement du dénivelé."
1 commentaire:
on va monter un club des bifurqueurs-abandonneurs, et ainsi créer nos propres challenges, na!
steph- demi marin
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