19 km et 1690 m+ en 4h32. Temps frais mais beaucoup moins de pluie qu'hier. Départ des Aillons le jeune et arrivée Aillons station.
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Départ en forêt pour la longue montée du Colombier, 1100 m+. Rapidement des névés apparaissent vers 1300 m. |
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Puis c'est carrément une forêt sous la neige, plus de sentier, je suis les traces des gens passés en raquettes |
Montée moins rapide sur cette neige tassée et de plus en plus gelée
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J'arrive sur le plateau sous le col de Cochette en même temps qu'un nuage. Je m'applique à suivre les traces qui partent dans tous les sens. Heureusement je connais le secteur et je fais des bouts de hors piste, je retrouve vite le bon sentier. Je surprends deux chamois derrière un rocher mais pas le temps de faire la photo. |
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Le ciel s'éclaircit, la pente est bien orientée, il y a moins de neige, je vois le col |
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Dernier petit mur enneigé avant le col |
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Col de Cochette sous le soleil, incroyable. Le Colombier m'apparaît sec, du billard pour les 400 m+ vers le sommet |
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Au bout de 180 m+, changement de terrain. En passant une bosse, j'arrive sur un sentier un peu enneigé mais verglacé. Je commence à glisser sérieusement. Comme je vois que plus haut c'est pire, je n'insiste pas. Il sera bien temps d'aller en haut dans trois semaines. |
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Quelle beauté ces gentianes dans cette montagne à cet instant hostile... (1850m+) |
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Je redescend au col de Cochette et en passant sous le Colombier en allant au col de Fullie, je traverse de gros névés. Ils devraient être fondu dans trois semaines. |
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À Fullie, je vous le Mont Pelat, avant dernier ravito du GR73 et dernière barrière horaire éliminatoire. Je vais courir pas mal pour y aller et je mets moins d'une heure. |
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Le Mont Pelat se rapproche avec sa dernière montée de 200 m+. À droite la Galopaz enneigée où j'étais hier. |
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Les nuages montent au Mont Pelat, moi aussi... |
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Enfin j'y arrive. Pas de ravito ! |
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Au-dessus des Aillons que je retrouve (avec Danye) en à peine plus de 30 minutes. Les jambes (genou compris) vont bien. |
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