Après le parcours de JP publié ici même mardi, voici celui de Philippe.
Départ près de la salle. Dix minutes avant 18 heures, Hugo nous fait sortir pour nous donner les cartes. Pas le droit de regarder. De toutes façons, on n’a pas envie car une belle averse nous prévient que ça ne va pas être une partie de plaisir. Finalement, fausse alerte, on courra les trois heures au sec.
Comme d’hab, au début, j’ai eu du mal à rentrer dans la carte. Dans ces conditions, faut suivre. J’ai suivi les lampes frontales qui m’ont emmené à la première balise. J’y arrive avec Didier. Là, point rapide, je vois où on est et c’est parti. Ça enchaîne bien jusqu’à la 45. Ok, pas la 100, trop loin. Dommage car elle était faisable. Ça continue bien jusqu’à la 59. Je laisse tomber les 50, 54 et 57. Bien fait car je n’aurais pas eu le temps de rentrer comme je finis 4 minutes avant le gong. À la 58, je fais un azimut trop rapide, pas précis pour aller à la 56. Résultat, je me perds un peu et je mets 11 minutes pour tomber sur la … 53. On verra la 56 au retour. Ça continue et à la 98, j’arrive en même temps que Jean-Luc. On fera ensemble la vingtaine de balises suivantes. À deux on ratisse plus large. Mais Jean-Luc est quand même plus précis que moi.
Enfin la fameuse 56. Jean-Luc me dit qu’il va rentrer car des crampes arrivent. Je file et termine les dix dernières. En allant à la 104, je croise Florence. Je n’imaginais pas à ce moment qu’elle était en route pour un superbe exploit !
Dans la salle, je trouve Didier qui a tout trouvé sauf une. Je file à la buvette et j’ai droit au dernier bol de soupe !
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