Philippe vient de s'inscrire à la Montagn'hard.
"Les côtes, les sorties avec gros dénivelés, la montagne, ce sont les terrains que j'adore et où je m'exprime le mieux. Comment alors ne pas avoir envie de faire les 120 km et surtout les 10000 m+ de la Montagn'hard.
J'ai donc décidé de me relancer sur cette Montagn'hard en 2010 après le gros échec de 2009. Gros échec car je ne m'y attendais pas. Confiant, trop peut-être, j'ai appris ce jour-là que rien n'est acquis en ultra-trail. Je restais sur un UTMB réussi enfin en 2007, une CCC superbe en 2008 et un GR 73 pas mal en 2009. Cette série m'avait peut-être fait oublier que chaque ultra en montagne est une épreuve où les compteurs sont remis à zéro au départ. Et que si tu n'es pas prêt à tout endurer pour finir, tu as des chances d'échouer. Je serai donc prêt et remonté moralement pour finir cette Montagn'hard. Pour oublier ce gros coup de mou dans le Mont Joly (et cette descente catastrophique sur un terrain très glissant) mais surtout pour être finisher. Bien sûr pas d'objectifs chronométriques si ce n'est de finir, comme Jean-Yves nous a montré la voie en 2009."
"Les côtes, les sorties avec gros dénivelés, la montagne, ce sont les terrains que j'adore et où je m'exprime le mieux. Comment alors ne pas avoir envie de faire les 120 km et surtout les 10000 m+ de la Montagn'hard.
J'ai donc décidé de me relancer sur cette Montagn'hard en 2010 après le gros échec de 2009. Gros échec car je ne m'y attendais pas. Confiant, trop peut-être, j'ai appris ce jour-là que rien n'est acquis en ultra-trail. Je restais sur un UTMB réussi enfin en 2007, une CCC superbe en 2008 et un GR 73 pas mal en 2009. Cette série m'avait peut-être fait oublier que chaque ultra en montagne est une épreuve où les compteurs sont remis à zéro au départ. Et que si tu n'es pas prêt à tout endurer pour finir, tu as des chances d'échouer. Je serai donc prêt et remonté moralement pour finir cette Montagn'hard. Pour oublier ce gros coup de mou dans le Mont Joly (et cette descente catastrophique sur un terrain très glissant) mais surtout pour être finisher. Bien sûr pas d'objectifs chronométriques si ce n'est de finir, comme Jean-Yves nous a montré la voie en 2009."
En haut du Mont Joly, Stéphane et Philippe ne présentaient pas des mines très réjouies. Deux heures après, ils abandonnaient ! 
L'affiche de la Montagn'hard 2010
1 commentaire:
Sur que cette fois sera la bonne!
jprou
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