Didier, Stéphane, JP: prêts pour la grande aventure" J'ai l'impression cette année que les ronces étaient mieux préparées. De mèche avec les souches et autres branches mortes, elles ont réussi à m'envoyer deux fois lourdement au tapis, de ces chutes au ralenti où tu sens ton corps subitement bloqué à la base vaciller lentement et où tu finis quand même la tronche dans les feuilles mortes parce que la fatigue a annihilé une grande partie de tes réflexes.
6 heures de course: l'humidité gagnent notre équipe !A trois nous avons pu adopter une stratégie en triangle pour rabattre les balises vers le doigt vengeur de Stéphane (solidement arrimé à son poignet), ce qui a bien fonctionné jusqu'aux premières lueurs de l'aube. A ce moment il nous a fallu la mort dans l'âme renoncer à compléter notre moisson et presser le pas pour ne pas finir en cendres.
Une bonne sortie avec une équipe solidaire face à l'adversité même si Stéphane, dans un moment de grande impénétrabilité, a manifesté son impatience de retrouver le bitume pour ses prochaines courses...
Did
Mais où est donc passée la neige ?
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