Quand Damien, adjoint au maire de Vernouillet, m'a appelé l'automne dernier pour me parler de son projet, j'ai trouvé l'idée excellente. Je me suis engagé à faire la promo de la course dans l'Écho, sur le blog et auprès des Maratouristes. Mais je doutais qu'il réussirait à tracer un parcours intéressant dans Vernouillet. Je m'étais trompé. On s'est vraiment amusé.
Et en plus, les Maratouristes ont répondu au-delà de mes espérances. J'imaginais bien que quelques-uns seraient présents sur cette course dans le Drouais, mais pas autant. Treize sur une course dont douze sur la même distance, c'est rare. Même à Vert-Drouais, ce n'est jamais arrivé. Mais le record du cross du Mont Blanc dans les années 2000, quinze Maratouristes au départ, reste notre record.
Mais si ce nombre de Maratouristes présents se renouvelle sur d'autres courses, il va falloir que je pense à faire des magnums de Reménoussa.
Sportivement, çe fut une belle promenade. J'avais accepté de faire le reportage pour l'Echo. J'ai commencé par faire les photos du départ. Puis je suis parti. Je me suis retrouvé juste derrière Dominique B. et son mari (2 futurs Maratouristes ?). Le rythme était bien, à l'aise. Sachant que le journal me demandait au moins quatre photos, comme je ne pouvais pas faire celles des deux arrivées, 9 et 18, j'ai mitraillé pendant la course (73 photos) pour être sûr d'en avoir 4 de bonnes.
Mais voilà, une photo, je m'arrête et je repars vite pour revenir sur mon groupe. Nouvelle photo, nouvelle accélération et cela pendant 3 à 4 km. Le cardio monte trop, ça va pas aller. Dix photos et je sens que cela va être dur de fractionner ainsi sur 18 bornes. Je laisse donc partir nos amis et les coureurs de ce groupe pour continuer cool à mon rythme plein d'arrêts.
Sur la fin, je vois Stéphane, Sophie, Dominique, Henri R., Pascal et bien sûr je regrette de ne pas être plus près d'eux. Mais c'est pas grave. On en fera d'autres.
Deux jours après, j'ai un peu mal aux jambes. Mais j'ai envie d'aller faire une petite c.o. pour essayer de chatouiller Didier. On verra.
Mais voilà, une photo, je m'arrête et je repars vite pour revenir sur mon groupe. Nouvelle photo, nouvelle accélération et cela pendant 3 à 4 km. Le cardio monte trop, ça va pas aller. Dix photos et je sens que cela va être dur de fractionner ainsi sur 18 bornes. Je laisse donc partir nos amis et les coureurs de ce groupe pour continuer cool à mon rythme plein d'arrêts.
Sur la fin, je vois Stéphane, Sophie, Dominique, Henri R., Pascal et bien sûr je regrette de ne pas être plus près d'eux. Mais c'est pas grave. On en fera d'autres.
Deux jours après, j'ai un peu mal aux jambes. Mais j'ai envie d'aller faire une petite c.o. pour essayer de chatouiller Didier. On verra.
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