Vendredi soir, le soleil se couche sur les Landes. La nuit tombe sur le camp de tente de la Trans Aq'. Tout le monde dort. Tout le monde ? Non, car les irréductibles Maratouristes sont encore éveillés pour vous donner de leurs nouvelles.
Sous leur tente, ils ont autant de lumière qu'en plein jour. La raison ? De nombreuses ampoules, surtout sur ou plutôt sous les pieds de Christian. "C'est comme à La Réunion, j'ai les coussinets sous les pieds couverts d'ampoules. Elles sont éclatées et ce n'est pas évident. Ce vendredi, je finis difficilement à la 120ème place." Christian pense que la chaleur "ou les guêtres dans lesquelles les pieds mijotent" sont la cause de ces ampoules "malgré les tonnes de NOK que je mets".
Quant à Didier, dont quelques Maratouriste se souviennent des jolies collections d'ampoules comme à la Réunion 2004 ou à l'UTMB 2005, ses pieds sont nickels ou presque. "Il a une énorme ampoule depuis 4 jours, ampoule pas éclatée mais cela ne le gêne pas..."
Pascal lui est en forme, de mieux en mieux chaque jour. Il aimerait finir dans les 10 V1 mais pour cela doit gagner 39 minutes sur la dernière étape de 26 km, quasi mission impossible. Par contre, entrer dans les 20 du scratch serait possible en reprenant un des deux coureurs classés 14 minutes devant lui.
La dernière étape s'annonce chaude, brûlante et il leur tarde d'arriver sur la plage de Saint-Girons et de plonger dans l'océan. "Il n'y a jamais eu d'abandons dans la dernière étape", leur a annoncé l'organisateur. De toutes façons, pas question de s'arrêter en si bon chemin car, comme dit Pascal, on est venu pour participer au repas de clôture. "Donc il faut y aller."
Je ne sais pas si la soirée de samedi ne va pas finalement être plus chaude que la journée...
Sous leur tente, ils ont autant de lumière qu'en plein jour. La raison ? De nombreuses ampoules, surtout sur ou plutôt sous les pieds de Christian. "C'est comme à La Réunion, j'ai les coussinets sous les pieds couverts d'ampoules. Elles sont éclatées et ce n'est pas évident. Ce vendredi, je finis difficilement à la 120ème place." Christian pense que la chaleur "ou les guêtres dans lesquelles les pieds mijotent" sont la cause de ces ampoules "malgré les tonnes de NOK que je mets".
Quant à Didier, dont quelques Maratouriste se souviennent des jolies collections d'ampoules comme à la Réunion 2004 ou à l'UTMB 2005, ses pieds sont nickels ou presque. "Il a une énorme ampoule depuis 4 jours, ampoule pas éclatée mais cela ne le gêne pas..."
Pascal lui est en forme, de mieux en mieux chaque jour. Il aimerait finir dans les 10 V1 mais pour cela doit gagner 39 minutes sur la dernière étape de 26 km, quasi mission impossible. Par contre, entrer dans les 20 du scratch serait possible en reprenant un des deux coureurs classés 14 minutes devant lui.
La dernière étape s'annonce chaude, brûlante et il leur tarde d'arriver sur la plage de Saint-Girons et de plonger dans l'océan. "Il n'y a jamais eu d'abandons dans la dernière étape", leur a annoncé l'organisateur. De toutes façons, pas question de s'arrêter en si bon chemin car, comme dit Pascal, on est venu pour participer au repas de clôture. "Donc il faut y aller."
Je ne sais pas si la soirée de samedi ne va pas finalement être plus chaude que la journée...
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